neophyte

Pas de vigne chez moi mais mes recherches sous galles ont abouti: elles sont provoquées au printemps par un acarien minuscule Colomerus vitis ou phytopte de l'érinose. Traitement chimique au soufre mouillable. Il existe un traitement biologique par un prédateur mais je ne connais pas les sources d'appro.

Culture sous abri et pas en plein air?

Avec tout le feuillage dehors cela peut marcher à la condition que: le vase ne reçoive aucun rayon de soleil pour éviter un effet loupe, serre et surchauffe que les racines aient un bain journalier et c'est là la difficulté de manipulation: Dans le vase comment tout revider en maintenant le vanda la tête en bas. Il faut plus de 2 mains. Il faut réussir à coincer les baguettes en haut du vase. Hors vase il faut chaque fois réintroduire le fouillis de racines sans casse. Patience et temps

Encore un détail concernant le plastique bulle. Ce qui isole c'est l'air emprisonné et plus les bulles sont de grand diamètre plus elle sont hautes créant une bonne distance entre le chaud et le froid. Les plastiques bulles bon marché n'ont que 2 films donc un côté lisse et un côté gaufré. Les versions luxe ont 3 films avec les bulles prisonnières entre 2 couches lisses, donc meilleures. Le traitement anti UV est naturellement un plus mais pas indispensable pour fixation à l'intérieur. Il faut peut-être combiner plusieurs solutions. Doubler le toit avec des panneaux assez lourds peut surcharger la structure prévue pour du 4 mm mais être sans problème avec du film bulle. Par contre les flans verticaux peuvent supporter des panneaux supplémentaires sur la tranche

Ben voilà chez Bruna une bonne idée de pots transparents assez rigides et sans trous et sans publicité: les récipients en PE pour conserver les aliments au frigo ou pour stocker sucre, farine, riz, noisettes et autres . On en trouve des cylindriques pour s'adapter aux soucoupes. Pas difficiles à percer au bon niveau.

Les plantes non plus

Le film bulle ordinaire se trouve avec les matériaux pour déménagement ou celui pour emballer les plantes en hiver. C'est le meilleur marché mais les films n'ont que 50 microns d'épais. Sur Internet on trouve des dizaines d'offres jusqu'à 100 microns en bulles de 10 mm diam ou 18 mm diam (préférable pour l'usage envisagé) et même 32. C'est une question de budget mais 80 microns me semble un minimum pour durer. J'ai fait une mauvaise expérience en mettant le film à l'extérieur ( on peut plus facilement le poser): problème UV et non tenue de la colle des rubans adhésifs aux conditions climatiques.

Taille de écorces de pin: tout dépend de la taille (diamètre) des racines. Pour phals préférer 10 -15, pour vanda trop petit (15-25), pour oncidium et assimilés trier ou couper 5 -10, etc. Pour des phals, les écorces pures vont très bien. Comme mélange standard sur la base des 3 composants choisis, je prendrais 80 % d'écorces, 10 % sphaigne et 10% billes. Pour racines très fines je remplacerai la moitié des billes 4-10 par des granulés soit Seramis soit Perlite soit encore minibilles de polystyrène. Pour espèces demandant plus d'humidité on peut monter la sphaigne, mais pas en paquet et attention à l'arrosage. Toutes proportions en volume et sans garantie de succès.

A expérimenter. Si le but est d'augmenter l'humidité sans brumisation (on est au séjour?) il vaudrait la peine de faire des mesures comparatives dedans et dehors. Au cas ou une source de brumisation est installée attention à la condensation sur les parois: Cela peut dégouliner par terre. J'ai renoncé à un truc pareil. Mon problème était d'ordre thermique sous un verrière ce qui n'est pas le cas ici.

Si tu te fiches de la présentation n'importe quel pot de produit laitier de 500 gr (yaourt, cottage cheese, dessert vanille) convient. A toi de faire les trous à la bonne hauteur. Si tu n'as pas de fer à souder une tige métallique de 4- 5 mm chauffée sur flamme de gaz convient très bien. Pour du plus rigide voir pots à miel d'un apiculteur du voisinage (Languedoc ) ou à chercher dans les rayons alimentaires. Même principe que les pots mouillés développés sur un post voisin faits avec des fonds de bouteille en PET. Edit: Chercher en jardinerie au rayon des cache-pots en plastique dur. Ils ne devraient pas avoir de trou d'écoulement. MAIS Là IL FAUT PEUT-ÊTRE UNE PERCEUSE avec forêt à bois. Pas besoin de parois transparentes comme chez Micha. Ou alors poses-lui la question sur son blog.

Par hydroculture pour orchidées je comprends une installation statique avec un substrat de billes d'argile dans un pot plastique ordinaire trempant dans une coupe ou vase en verre pour le contrôle visuel du niveau d'eau. Sans vase en verre, soucoupe haute dans 2ème soucoupe et aller jusqu'au débordement. Pour augmenter la ventilation du pot et imiter les pots spéciaux, j'utilise un fer à souder pour créer des fentes verticales dans le pot. Pour un essai, largement suffisant. Rien à voir avec pots pour table à marée ou avec double pot opaque et flotteur comme pour les plantes vertes, autres matériaux d'hydroculture

Petites questions Billes d'argile jusqu'à la rangée inférieure de trous ou plus haut pour avoir plus de séparation entre eau et zone moins mouillée? Grille ou autre séparation entre billes et substrat? Quelle différence de principe avec méthode "Cul dans l'eau" ( à part le contenant de base) ?

Il y a tellement de types de leds Batten que je suis un peu perdu. Est-ce des réglettes blanches (chaud, neutre ou froid) ou des réglettes et rubans colorés (rouge, bleu + autres)?

Si tu optes plus tard pour le panier aquatique, prends le d'un bon diamètre, de contenance d'au-moins 3.5 l afin d'y loger les nouvelles grosses racines sans les plier. Le panier bois non traité a une durée de vie plus limitée: il se décompose progressivement sous l'influence de l'humidité permanente en présence d'air.

Je suis retourné sur le reportage de la serre de 2014. Les photos ont disparu, reste la video. En rapport avec tes réflexions je cherchais comment étaient tenus les plateaux polycarbonate du côté des parois de la serre, on ne voit aucun poteau sur les images restantes ! Y a-t-il des ancrages sur la structure de la serre ou les supports sont cachés à la vue? Le rapport de 16 m2 en vertical aux 9 m2 en horizontal est illusoire car il faut voir la projection de la plante sur le plan support. Sur les plateaux c'est un cercle du diamètre de la plante, sur une grille verticale c'est tout le profil en hauteur de la plante. La densité d'accrochage sera plus faible. Et puis mettre plus de plantes signifie moins de lumière à disposition pour chacune d'elles à moins d'augmenter la note d'électricité, la surface extérieure de la serre étant constante. Pour les plantes lourdes suspendues il faudra prévoir une barrette cale-pot de compensation de la conicité du pot et du décentrage de l'accrochage. Sans cela tout bascule vers l'avant

Observation d'un admirateur Un système vertical n'améliorera pas l'accès de la lumière dans le bas sans diminution de la population pour création de puits de lumière. L'angle de vue du ciel (toit de la serre) restera petit. En latéral les plantes feront rideau comme maintenant de haut en bas. Pour la manutention et l'arrosage manuel il pourrait y avoir un avantage d'accès. L'idée de gérard78 de vantaux-grilles (ou de de plateaux) sur charnières devrait être creusée en tenant compte des porte-à-faux importants en cas de plateaux mobiles. Ou alors il faudrait des tiroirs à grille sur rails comme pour les casseroles de cuisine.

Mes cogitations sur la base d'une étude Vegeled Soient des sources lumineuses de diverses technologies installées à 1 m du plan de mesure, de puissance totale égale à 1200W. On mesure un éclairement égal à 16500 lux si les sources sont des HPS 6043 lux si les sources forment une combinaison 827 /840 de lampes (ou tubes ) fluorescents 7230 lux si les sources sont des leds blanches froides 4200 lux si les sources forment une combinaison (50/50 ?) de leds monochromes rouges et bleues et pourtant cette solution est la plus efficace pour les plantes. En effet la mesure en lux tient compte de la sensibilité de l'œil humain selon un spectre centré sur le vert (555 nm de longueur d'onde). Les émissions aux deux bouts du spectre visible (450 nm et 670 nm) ne sont pratiquement pas prises en compte d'où mauvais chiffres en lux. Par contre elles correspondent aux pics d'absorption de la chlorophylle. Il faut oublier lumens et lux et raisonner en W rayonnés ou en micromoles de photons émis par m2 et par s. Malheureusement ces données figurent très rarement dans les datasheet des leds monochromes. Alors basons-nous sur l'étude qui déclare que seuls 53 % du rayonnement des tubes fluorescents est essentiel aux plantes alors que pour la combinaison des leds monochromes le chiffre est de 98%. Pour les HPS le chiffre est de 42%. D'après l'étude pour les plantes concernées on peut se satisfaire de 675 W de leds monochrome au lieu de 5650 W de fluorescent, soit 12%. Je ne serais pas aussi optimiste et je pencherais pour le rapport 53/98 appliqué à tes 72 W soit 39 W de monochromes. Le panneau 45 W pourrait théoriquement convenir mais son nombre très élevé de diodes de très faible puissance me fait penser à une technologie dépassée. Il faudra coller le panneau aux plantons alors si tu trouves un peu plus puissant tu pourrais reculer le panneau

Les tubes leds de 60 cm ne consomment que 10 W pour un flux lumineux de 1000 lumens, flux un peu plus faible que celui d'un tube fluo ordinaire standard de 18 W (1350 lumens). Comme les tubes fluo ordinaires ils ne sont pas horticoles. Une partie de leur spectre n'est pas exploité par les plantes et il faut mettre plus de puissance par rapport aux leds monochromes. OK en remplacement de fluo ordinaire. Mais attention, tes 2 tubes PL-L (72 W) délivrent 5800 lumens donc si tu veux l'équivalent il te faudra 6 tubes (60W) donc tu ne seras pas dans un rapport de 1 à 2. Les leds sont des leds bleues recouvertes d'un phosphore jaune. Pour avoir assez de rouge il faut prendre la version 830 (3000 °K) Pour les leds monochromes cela suivra mais cela prend du temps à trouver des données plus fiables et complètes que celles des sites vendeurs déficients

Je vais creuser un de ces jours parce que c'est plein de bizarreries. Les modèles déclarés 300W (60 diodes de 5 W) annoncent en petit "True Watts" 136 ou 145 W. Alors quoi? Est-ce que cela veut dire que le courant des leds est limité en-dessous de la valeur nominale, limitant la chaleur développée mais également limitant l'éclairement qui n'est pas spécifié. Le modèle 45 W est équipé avec 225 leds CMS (composants montés en surface) de 200 mW et on a pas non plus de données sur l'éclairement. Le panneau à 1365 diodes CMS consomme-t-il 120W (88 mW/diodes) ou 50W (36.6 mW/diode)? Les 2 données sont sur la même ligne. Valeur de l'éclairement? La proportion rouge/bleu n'est pas très bonne. Pas assez de bleu. Il faut trouver les datasheeet des diodes utilisées Effectivement les assemblages de leds blanches ne sont pas spécifiquement horticoles Pour les leds de couleur l'éclairement ne se mesure pas en lumens d'où difficulté supplémentaire

Quel type de panneau vises-tu? Blanc ou multicolore avec dominante bleue et rouge. Dans ce dernier cas je n'ai à ce jour jamais vu pour les dimensions mentionnées quoi que ce soit dans le budget que tu cites. Mais il semble qu'il y ait des nouveautés du côté d'Excelvan avec une chute de prix radicale pour des petites puissances adaptées aux boutures à faible distance. Pas d'expérience personnelle. En principe il faut 2 leds rouge pour 1 bleue. Les blanches sont pour l'œil; elles sont à dominante bleue. En lumière blanche Leds et tube fluorescents ont à peu près le même rendement lumineux. Je suppose que tes 2 x 36 W sont des tubes en U type PL-L de Philips (turbo néons) de 415 mm de long, socle 4 pins. Ils délivrent chacun 2900 lumens soit 80.5 lumens/ watt: En Leds il te faudrait 70 W au total pour être équivalent. Chaque W consommé finit en chaleur. La température dépend de la puissance et de la surface de dissipation. Les Leds (de puissance) ne supportent pas la surchauffe elles sont donc montées sur radiateur ce qui explique le prix. Mais à puissance égale avec un tube fluo il ne faut pas espérer une température notablement plus basse.

D'après Jay's , de la base (Eulophia en général)

Néon: il faudrait préciser celui que tu as reçu avec le terrarium. Puissance au-moins 30 W pour 90 cm en T8 (gros tube 26mm) ou 39 W pour 85 cm en T5 (tube mince 16 mm comme Lucky reptile). Si bonne lumière extérieure et montage intérieur (vu les 100 cm de hauteur) dans bon réflecteur cela pourrait suffire à la limite. Si tu ajoutes encore 39 W de Lucky reptile cela doublerait l'éclairage à ne plus brancher que de 7 à 9 h et de 17 à 20 h ou plus en hiver Avec un montage extérieur et ton modèle de terrarium tu perdras de la lumière par réflexion sur le verre

Ton "Netzgerät " est un redresseur courant continu DC (le signe == avec le trait supérieur continu) multi tensions. Regarde la tension nécessaire sur le ventilo (pas visible sur la photo) et ajuste le commutateur du redresseur. Comme déjà dit en réduisant la tension le ventilo tournera moins vite PS edit: Relu ton message. + sur le fil rouge - sur le fil noir du ventilo. Tu oublies les autres. N'y a-t-il pas un schéma livré avec le ventilo? Tu peux essayer avec une pile 9 V (les cubiques avec des boutons pression). Avec une 1.5V cela ne tournera pas, c'est normal.

Ne pas confondre un transfo qui produit une tension alternative AC et un redresseur qui fournit une tension continue DC. Les ventilos pour PC sont pour courant continu, les ventilos pour bâtiment (Cuisine, salle de bain) sont pour courant alternatif. Dans la vente directe comme pièce détachée cela peut être l'un comme l'autre. Tension à vérifier avant d'acheter le transfo ou redresseur et brancher. Si c'est pour DC l'avantage d'un redresseur universel (sortie commutable) c'est de pouvoir faire tourner à plus basse vitesse en sélectionnant une tension plus basse et ainsi réduire le bruit

J'en ai aussi rêvé une fois! S'agit-il d'une serre froide (quelques mètres cubes, à oublier en Peltier) ou d'un orchidarium de 120 l (60*40*50) qui est certainement l'extrême limite où c'est jouable. Les glacières portatives électriques à élément Peltier ont 24 ou max 48 litres et refroidissent au max 15 °C en dessous de l'ambiante. En triplant le volume et en isolant bien arrivera-t-on à baisser de 5°C l'ensemble du volume? Avec un grand delta de température l'extraction est mauvaise. Il faudra de grands radiateurs et une bonne ventilation sur les 2 faces. Je ne sais pas si les plantes apprécieront Et qui dit isolation dit usuellement matériel opaque donc 2 régimes lumière artificielle, refroidissement coupé refroidissement enclenché, lumière coupée Tenez nous au courant