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neophyte

Habitués Orchidees.Fr
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Tout ce qui a été posté par neophyte

  1. Tes photos sont pleine de mystère pour moi d'où quelques questions. Sur la face avant entre le verre inférieur du bac à crevettes et le verre supérieur cela semble ouvert sans dispositif pour une porte coulissante ou à charnières: Cela restera-t-il ouvert? Au fond du bac à gauche on voit un tuyau qui vient du meuble inférieur. Est-ce un trop plein pour le bac ou un double tube d'alimentation et de vidange? Dans le caisson supérieur on voit le coude de sortie de la boîte à brume dirigée vers le bas mais dans l'orchidarium on ne voit rien qui sort du plafond. Y aura-t-il une prolongation? Toujours pour la boîte à brume: pas de ventilo spécifique? Avec US (brume )ou simple évaporation (air humide) Accès au caisson supérieur pour réalimenter en eau? Par dessus sans se cogner la tête au plafond? Je me réjouis de voir la suite
  2. A tout hasard vois l'entreprise de création de jardin VIP Garden Srl qui annonce une serre d'orchidée de 400m2 qui serait une exposition permanente http://www.vipgardenroma.it/e-site/orchidee/index.asp La via dei Cocchieri est au sud du centre à mi chemin du périphérique de ceinture, proche de l'arrêt de métro Marconi ligne B bleu Pas d'expérience personnelle Peut être combiné à une visite de la basilique Saint Paul hors les murs à environ 1 km de là direction centre. Une des basiliques majeures voir Wikipedia
  3. Résumé Pot en plastique étanche à l'eau et la vapeur d'eau. Pas d'échange latéral. Le substrat met plus longtemps à sécher par le fond et la surface. Peu stable par rapport au pot de terre. Pas ou très peu d'adhérence des racines. Masse thermique faible. Pot en terre non verni. Les parois absorbent l'eau, la vapeur d'eau et l'air. En s'évaporant cela refroidit le pot. Sèche plus vite que le plastique mais moins qu'un panier. Les racines adhèrent à la paroi humide. Masse thermique importante, freine les variations de température. Pot en terre verni seulement à l'extérieur. Absorbe de l'eau mais pratiquement pas d'évaporation à l'extérieur. Pas de refroidissement. Masse thermique comme pot non verni. Solution entre plastique et pot non verni. Adhérence des racines. Pot tout verni ou verni à l'intérieur = plastique pour la fonction humidité et adhérence. Avantage esthétique selon goût
  4. Le résultat des calculs donnent la puissance lumineuse nécessaire et donc le nombre de tubes. La solution retenue en T5 à leds de 55 cm (terrarium de 60 cm) à 910 lumens par tube me semble peu performante. Un tube fluorescent T5 de cette longueur délivre 1200 lumens en norme HE 14 W et 1750 lumens en norme HO 24 W. N'y a-t-il pas sur le marché des tubes leds de cette longueur un peu plus puissants? Si non le seul avantage est l'angle de rayonnement limité à130° donc on peut se passer de réflecteur alors qu'il est impératif pour les tubes fluo qui émettent sur 360° Le rendement des leds blanc froid est supérieur aux leds blanc chaud. ( question de phosphore sur les diodes)
  5. J'ai des extracteurs d'air qui s'activent 15 min toutes les 2 heures. Mais en fait ça n'empêche pas la chaleur de monter et de se répartir difficilement compte tenu de la hauteur totale. Descendre le radiateur était indispensable, même si c'est forcément moins commode pour passer. Une autre option serait de mettre carrément le radiateur à la verticale de sorte qu'il aspire l'air chaud en haut et le souffle réchauffé vers le bas, je suppose que si ce n'est pas jamais présenté dans cette configuration c'est que c'est probablement une mauvaise idée... Je n'ai pas de serre mais suis en pavillon avec un living qui monte jusqu'à une verrière. Malgré verre athermique température en été trop haute sous la verrière pour plantes en hauteur. Pour homogénéiser un tant soit peu les températures entre le haut et le bas j'utilise un extracteur 125 ou 150 comme ceux d'Estelle mais en vertical dans une gaine rigide de même diamètre. Cela devrait aussi fonctionner en serre où le bruit permanent ne gêne pas (contrairement à mon living). La gaine se fixe avec des brides plastiques et prend très peu de place contre un montant. L'extracteur est inséré en bas avec le câble contre le bas pour diminuer la longueur de câblage. Je souffle l'air froid contre en-haut (je pousse). La dépense principale est l'extracteur. Pourquoi ne pas essayer en serre?
  6. J'ai apprécié, merci. Petites questions Manifestement les soucoupes sont en synthétiques et pas en terre cuite. Quel avantage-désavantage pour la plante (mis à part la facilité de fixation et de poids)? Vu la forte inclinaison à 45° quel est l'avantage par rapport à un pot classique ou à un panier à large ouverture?
  7. Curieux j'ai été fouiller le net pour avoir la composition approximative de la propolis une fois purifiée des déchets de pollen et de cire qu'elle contient lors du malaxage par les abeilles et lors du prélèvement en ruche. Un premier point est qu'elle n'est pas hydrosoluble donc les flacons de liquide vendus contiennent en majorité un solvant, probablement de l'alcool pour pouvoir préparer une solution aqueuse. Donc vérifier le volume d'alcool de la teinture. Le composant principal est une résine d'origine végétale (sous nos cieux, principalement collectée sur les bourgeons de peuplier) contenant à faible dose des principes actifs comme des flavonoïdes et des phénols antiseptiques et fongicides. Par exemple on trouve de l'acide cinnamique comme la cannelle utilisée couramment sur les blessures des orchidées mais pas sur les racines. Alors pourquoi pas en pulvérisation préventive sur des plantes mais pas en arrosage. Reste la question du dosage. Si l'attaque fongique a déjà débuté j'ai quelques doutes sur l'efficacité. Le risque d'utilisation sur plantes adultes est probablement négligeable, sur plantules: mystère. Reste à essayer sur du pas dommage
  8. Une proposition pour la conservation de l'eau de pluie et l'usage en arrosage. Dans l'air et sur nos toits la pluie collecte gaz (CO2, O2), particules organiques, spores, bactéries et que sais-je encore de dimensions non filtrables économiquement. D'où prolifération d'algues si on laisse l'eau à la lumière (photosynthèse) et à des températures moyennes, sans parler des larves de moustiques. OK si on obscurcit mais on empêchera pas à terme le développement de bactéries anaérobies dans la boue déposée au fond avec dégagement éventuel de gaz et d'odeurs si la nourriture organique est importante. J'ignore si des bactéries phytopathologiques collectées peuvent se multiplier dans cette eau stagnante et contaminer les plantes à l'arrosage. Néanmoins je suggère la méthode mise en œuvre pour potabiliser l'eau des marigots africains et mise au point en Europe. Remplir des bouteilles incolores (PET) sans étiquette avec l'eau décantée du tonneau, oxygéner par agitation, fermer et exposer aux UV en plein soleil pendant au moins 6 heures. La température doit monter au moins à 45 °C. Les UV combinés avec l'oxydation et la température détruisent toutes les bactéries. Puis stocker à l'obscurité. Arrosage sans risque. Donc l'eau reste utilisable tant qu'elle ne sent pas mauvais (ce qui ne gêne pas les plantes). Et pour diminuer ce risque il faut vider et nettoyer le tonneau au mois une fois par an au début de la période la plus pluvieuse sans soleil pour "stériliser" les bouteilles. A ce moment utilisation directe pour l'arrosage.
  9. Pour revenir aux leds, j'ai retrouvé ça http://www.vegeled.be/Eclairage-LED-Horticole-VEGELED.pdf Pour les plantes testées le meilleur rapport bleu-rouge était dans la plage de 25-55 % bleu et solde en rouge. Il n'est pas dit ce que signifie le pourcentage: Puissance consommée ou puissance émise. Il faut savoir que les photons bleus (460 nm) ont 1.42 fois plus d'énergie que les photons rouge (650 nm) et que les rayonnements annoncés dans les data sheet des leds ont approximativement le même rapport. Donc si on veut un équilibre 50/50 des énergies dans les deux rayonnements, il faut 1.4 fois plus de leds rouge que de bleues à courant égal. L'éclairage des expériences était maousse: 1200 W consommés pour 1 m carré à 1 m de distance. Pas trouvé d'expérience avec des orchidées.
  10. D'accord, avec ton éclairage horticole (rouge-bleu et blanc pour l'humain) oublions les lumens. Les points suivants me chiffonnent quand même Tu annonces les 10 CREE-XT-E Royal blue sous 1000 mA. Avec ce courant le Forward Voltage moyen est de 3.2 V, la puissance dissipée de 3.2 W et la puissance totale de 32000 mW. Cela va beaucoup chauffer, donc je pense avec 11500 mW que tu songes plutôt à les exploiter sous 350 mA Les 10 pièces CREE-XP-E Blue sous 350 mA ont un FV de 3.1 V d'où 1.085 W x 10 pièces =10085 mW Les 5 pièces CREE-XP-G2 Warm White sous 1000 mA dégagent 15000 mW,ça va chauffer Les 10 Philips Rebel Star ES Photo Red sous 350 mA dégagent 7350 mW et pas 3500 mW Avec n'importe quelle hypothèse, je n'arrive pas à tes 53 ou 54 W. Pour ne pas trop solliciter toutes ces leds labellisées 3 W il ne faudrait pas dépasser les 2 W donc avec 35 pièces, viser 70 W ce qui reste peu pour ton volume. Ensuite par rapport bleu-rouge 20:10 me semble ne pas correspondre à ce qu'on trouve ou trouvait sur le marché ou dans la littérature. C'est plutôt le rapport inverse mais les choses ont peut-être évolué? ​Détail constructif: les radiateurs en position horizontale (tu est bien forcé) dissipent moins qu'en vertical. En tenir compte dans le calcul de surface ou mettre un ventilo au bout dans le sens des ailettes.
  11. Si je compte bien chez Palu38 cela fait 226 W . Un tube 39(35) W délivre 3100 lumen (env 80 lm/W) donc au total 18080 lm soit 2.7 fois plus que ton projet. -Voilà qui nous rapproche du bac récifal cité mais poserait des problèmes dans l'espace exigu entre orchidarium et plafond . Ne faut-il pas viser à l'intérieur de l'orchidarium?
  12. Comparaison n'est pas raison, soit, néanmoins... Pour son bac récifal de 125 l l'auteur du site référencé prévoit 28 leds sous 700 mA: Sous ce courant la tension d'une led blanche est de 3.05 V donc la puissance 2.135 W. Une led délivre 260 lm, soit 121.8 lm/W. Au total cela fait 59.8 W c'est à dire 0.478 W/l et 58 lm /l en rapportant au bac. Ton bac contient 540 l d'air et tu prévois 54 W soit 0.1 W/l et 6577 lm donc 12.18 lm/l. N'est-ce pas trop faible, tout en sachant que l'eau absorbe beaucoup plus que l'air (exponentielle négative). Ce qui me fait douter c'est ta hauteur de 120. Ne faudrait-il pas prévoir un complément de lumière plus bas (spots?) à moins de ne mettre que des plantes très peu gourmandes en bas de l'orchidarium.
  13. Qu'appelles-tu LED haute puissance? La chaleur générée est proportionelle à la puissance en Watts et quelque soit la source quasi tout fini en chaleur y compris l'énergie lumineuse- sauf ce qui est utilisé par les plantes pour croître - mais le rendement lumineux des Leds (lumens/Watt) est maintenant supérieur à celui des tubes fluorescents ou à décharge d'où moins besoin de puissance pour atteindre l'éclairage nécessaire. Il faut néanmoins que l'air puisse circuler autour de ton éclairage Led car les diodes sont plus sensibles à la chaleur qui ne pourrait pas s'évacuer que le verre de ton orchidarium à 10 cm en dessous, donc pas de caisson fermé. Evidemment ne met pas 200 W.
  14. Comme tu le sais déjà, c'est un désinfectant pour protéger les plaies ouvertes dans les tissus sains après coupe. Ce n'est pas un revitalisant. Si c'est nécrosé cela ne sert à rien sauf si tu amputes plus loin.
  15. Merci, je vais tenter une division de miltassia toujours assoiffé. Pas assez de capillarité en grosses billes et trop en seramis donc retour aux écorces. Je verrai moins les algues entre pot et vase en verre par suppression du pot !
  16. Bravo à Réjane et à tous ses "disciples", quasi 50 pages de succès et de questions, il faut le faire. Alors allons-y de mon couplet Le titre et les exemples parlent presque exclusivement des phalaenopsis à grosses racines dans de grosses écorces avec parfois adjonction de billes d'argile (pas Réjane, c'est compris). En feuilletant cette suite de fiches j'ai vu un Dendrobium type phalaenopsis et un Cattleya (vase cassé, comment va la plante aujourd'hui?) chez Réjane, une évocation de Zygopetalum et une mise en vase très récente de D. nobile et d'un cattleya chez Fréderic. J'en ai peut-être loupé. Mes excuses aux auteurs. Mes questions 1- Des essais en plus grande quantité ont-ils eu lieu avec d'autres espèces, en particulier à racines fines? Supportent elles d'être peu en contact avec les grosses écorces? Y a-t-il des mises en vase qu'il vaut mieux ne pas tenter avec certaines espèces? 2- Par comparaison à la culture en pots les écorces du fond toujours à la limite eau-air se décomposent-elles plus vite? Autrement dit, fréquence du rempotage?
  17. Comme tu dis: devrait. Je connais mal la chimie du sulfate de fer sur les algues (parce que c'est de cela et non de mousse dont on parle) et sur les plantes, à part booster la tenue en fer, mais ce que j'ai observé au jardin me laisse plus que septique. Il y a une réaction qui après avoir tué les mousses acidifie tellement le terrain qu'elles repartent plus fort qu'avant si on ne chaule pas. D'autre part il y a une décomposition en oxyde de fer (de la rouille brune) et dieu sait quoi d'autres. Les orchidées n'apprécient pas les sulfates qui doivent bien rester. Alors vraiment non
  18. neophyte

    Les Masdevallias

    Pour si jamais: Dans les "orchidées au cours des mois" du mois de juillet/août 2007 http://www.orchidees.fr/forums/index.php?s...=36690&st=0 il y avait sous le pseudo de topic un article de Jean-François sur les masdevallias très proche de celui de orchid029
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