Sycomore

Il a un superbe caudex ton Adenium, en taillant ça deviendrait une véritable oeuvre d'art !

Merci Christiane ! @Chris34390 Le P.A.R corespond aux longueurs d'ondes absorbées par la plante pour faire la Photosynthèse qu'on pourrait vulgairement comparer aux températures de couleurs (Kelvin), données présentes sur tout type d'éclairages. Voici un graphique qui permet de savoir quel type de lumière il faut donner aux plantes : Voilà ce qu'il faut savoir, sachant que 450nm ≈ 6500 Kelvin / 650nm ≈ 4000K ce sont donc ces deux valeurs qu'il faut combiner lors d'un choix d'éclairage pour permettre un développement optimal. Les éclairages spécial plantes c'est un argument commercial, le spectre est peut-être un peu plus raccord avec les capacités d'absorption mais vu le prix, le rapport lumen/watt y'a pas photo je préfère mes tubes LED à 15 euros qui ne perdent pas ou très peu en intensité avec le temps et pour une consommation électrique modique.

J'ai perdu mon cacticola, je vais donc me faire une petite commande pas piquée des hannetons je pense !

Attention à ne pas confondre lux et lumen, le lumen est l'unité qui permet de mesurer la puissance d'une lampe donc une valeur théorique (quand je parlais de surface c'était pour exprimer le rapport puissance/espace de culture), et il faut mesurer les lux pour savoir combien les plantes prennent réellement d'intensité lumineuse c'est pour ça que je ne parle jamais en lux car cela dépend bien évidemment de l'espace entre le feuillage et les lampes. Enfin tout ça pour dire que ça crache pas mal de lumière. Correction sur ce que j'ai dit, c'est 7500 lumens qui éclairent mes Phal et compagnie (je n'ai que deux tubes LED à cet étage). J'ai tendance à plus me fier à l'aspect végétatif des plantes plutôt qu'aux données chiffrées ceci dit !

Bien moins que les Cattleya certes mais ce ne sont pas des plantes d'ombre comme on veut le faire croire un peu partout. Les Phalaenopsis sont des Aeridinae et aiment une bonne luminosité, ils sont sous les lampes mais plus espacé. La vigueur est démultipliée grâce à l'apport d'un éclairage puissant, soit 11 000 lumen sur presque un mètre carré à 50cm de distante du feuillage. Ouais je dois aussi dire ça à chaque mais je suis comme un gosse à chaque nouvelle floraison... Fond clair oblige si je voulais vous faire profiter des poils ! Le fond noir aurait masqué tous les détails, la fleur est relativement sombre. Merci Virgile ! Oui j'en parle au début de sinuata ! 😛

J'étais en f/14 pour ces photos, technique du fill-in, 1/200°, 100 iso.

Merci à tous, oui mes Catasetinae (dont font parti les Mormodes) sont sous mes lampes. J'utilise un rebord de fenêtre expo Est pour certains Paphio et Coelogyne, autrement tout est sous les lampes sur plusieurs étagères avec des différences notables (plus ou moins de tubes LED, hygro, température etc...) Je dois avoir 80 genres différents mais cela se regroupe principalement chez les Aeridnae (Phal, Vanda) et mes Catasetinae. J'essaye de choisir des plantes avec des réserves, un repos marqué, ou des besoins en lumière élevé.

Quand le soleil tape dessus le parfum doit être dément ! Bravo.

Parfait alors ! Attention à l'odeur quand il fleurira !

Quelle plante ?! La plante a de la bouteille, bravo ! J'adore mais je préfère me rabattre sur les espèces de petites tailles comme vietnamensis ou monachica, impossible pour moi de cultiver un mastodonte de ce genre !

Je m'en suis séparé car trop volumineux pour une culture pas forcément optimale dans mes conditions. Les Bulbophyllum de manière générale ont besoin d'une forte hygrométrie, de chaleur, celui là une exposition moyennement lumineuse suffira, substrat à base de sphaigne et écorce ce qui permettra une bonne rétention de l'humidité. Pour le coup ce sont vraiment des plantes de serre. J'ai fait une croix dessus pour le moment mais c'est une genre que j'apprécie particulièrement (un des genre avec le plus d'espèce chez les Orchidaceae). Il faut essayer les miniatures en terrarium si on cultive en appartement.

Ferme ton diaph' !!

Mormodes morenoi R.Vásquez & Dodson 1998 originaire de Bolivie, se distingue de Morm. sinuata par la présence de soies sur la face supérieure du labelle trilobé. Fort parfum camphré assez entêtant, moins agréable que Morm. fractiflexa. La fleur ne s'ouvre pas plus, ne laissant qu'un passage étriqué pour le pollinisateur qui déclenchera le mécanisme d'éjection des pollinies. Culture similaire aux autres espèces du genre, pas de difficulté, la plante est vigoureuse pour le moment. Je suis content de baptiser le forum avec cette espèce, qui est relativement rare en Europe pour ne pas dire introuvable. Souvent vendu mal identifié, c'est bien sous ce nom que j'ai eu cette plante. Je savais à quoi m'attendre car elle est arrivé en hampe l'année dernière. Voici ma première floraison "maison". Je pense qu'esthétiquement c'est l'Orchidée que je préfère sur l'ensemble de ma culture je vous laisse en juger.

C'est pas le plus simple du genre en effet. Il a besoin d'une forte hygrométrie, et n'aime pas particulièrement être rempoté. Il se met à raciner en même temps que la floraison et ce pendant une période plus sèche (dérangé à ce moment là il a du mal à repartir convenablement). Merci à vous deux !

C'est très sympa comme espèce, je ne connaissais pas ce Pleurothallidinae, il s'avère que le genre est passé chez les Stelis. Bravo pour la culture !

Originaire de l’Ouest de Java et de la province de Bengkulu à Sumatra. Fleurs miniatures, grosse plante au feuillage ondulé. Les hampes sont souvent prostrées sous les feuilles en regardant vers le bas ce qui ne rend pas la prise de vue aisée. Pas de parfum mais des couleurs chatoyantes et des détails singuliers. Un de mes préférés tant il se démarque des autres espèces. Il faut l’observer en macro pour profiter pleinement des détails. J'ai fait tomber la plante juste après un rempotage alors qu'elle se mettait à raciner, ce qui m'a obligé à couper des hampes... :blase: Bon j'en ai laissé deux car je ne pouvais me résigner à un tel massacre, du coup je profite d'un nouveau cycle de floraison pour faire une photo, même si je pense que la forme va s'améliorer à la saison prochaine.

Oui j'en suis conscient, c'est pourquoi je prends le temps de les immortaliser sous tous les angles. Si j'avais pu faire ça sur tobaense je serai comblé, maintenant je ressent la frustration de ne plus retrouver cette espèce maudite !

Superbe, bravo Béné !

J'ai envie de dire pourquoi pas, il faut tenter !

Pourquoi j'ai pas encore cette plante depuis que je vous vois en parler...

Pour les taches je dirais maladie cryptogamique ou bactérie transmise par un insecte piqueur suceur, si ça ne progresse pas les feuilles atteintes vont tomber et la plante retrouvera son aspect normal. Tu peux aussi couper toutes les parties touchées. Chez cette espèce, avoir des cannes défoliées n'est pas un problème. Il ne faut pas que ça apparaisse sur les nouvelles pousses auquel cas soit les parasites sont encore là, soit la transmission se fait par les racines (le vecteur étant le substrat).

Oui c'est bien des Acariens (Tétranyque tisserand - Tetranychus urticae). On les voit d'ailleurs sur la photo. Le premier geste est de passer tous les foyers d'infestation au jet d'eau pour déloger un maximum de nuisibles. Ce qui va temporiser dans un premier temps, tu peux par la suite traiter avec un mélange d'huile de paraffine, d'alcool isopropylique (ça va être compliqué d'en trouver maintenant), de savon noir à hauteur d'une cuillère à soupe pour un litre d'eau, bien émulsionner en secouant à chaque session de pulvérisation. A faire deux fois par plante à intervalle d'une heure. A refaire deux à trois fois le premier mois. Surveiller autant les plantes avec des marques que celles qui n'en ont pas. Ils peuvent très bien migrer dans une zone plus favorable, surtout si il y a contact entre les plantes, outils etc... La solution la plus simple, j'essaye d'en parler le plus possible, c'est la lutte biologique. Introduire des acariens prédateurs reste la meilleure solution à mon sens pour gérer les acariens phytophages.

Il y'en a chez Nicolas de la Cour des Orchidées, de belles plantes pas chère.

Caractéristique des Clowesia pour capter les débris végétaux et former une couche d'humus autour des racines !

J'ai d'autres espèces et force est de constater que ces plantes préfèrent les climats tempérées, les fortes chaleurs (en tout cas l'hiver) font avorter les pousses (ce qui a été le cas sur mon D. schrautii) depuis que je l'ai mis contre ma fenêtre il revit ! Ces espèces sont relativement rare et chère en Europe c'est bien dommage. Il faut regarder du côté des producteurs/importateurs d'Allemagne.