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Sycomore

Habitués Orchidees.Fr
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Tout ce qui a été posté par Sycomore

  1. C'est une plante in situ qui pousse en plein cagnard, le feuillage est très jaune, ici on voit rarement des Hoya en culture dans cet état, je peux vous dire qu'une fois bien exposé, il pousse relativement vite, moins que certains Hoya mais faut dire que kerrii a de la matière à fournir avec ses énormes feuilles et tiges. C'est aussi une plante relativement compact qui peut fleurir sur des lianes courtes. Cette espèce repart bien des yeux dormants, ça serait bête de priver d'une belle potée. En tout cas (personnellement) dans cette situation je couperai ça c'est sur.
  2. Je réussi mieux les boutures d'Hoya quand la tige est ligneuse justement, ajoute un morceau de charbon dans le verre d'eau et il n'y aura aucun soucis. Le pédoncule risque de tomber mais c'est un mal pour un bien, il est fort probable qu'il finisse par jaunir et tomber avant même qu'il refleurisse, mais H. kerrii dans de bonnes conditions pousse vite, et te refera prochainement une floraison plus authentique.
  3. Vous avez affaire aux Thrips, ravageurs prédestinés des Catasetum et compagnie, il adorent ça. Le mieux est de passer la plante au jet d'eau, et de recommencer autant que possible, la seule solution viable que j'ai contre eux ce sont les prédateurs (que j'introduit dans ma zone de culture) que j'achète dans une boutique spécialisé, commercialisés sous le nom de Thripex+ (c'est un acarien qui va se nourrir des Thrips et ce à tous les stades). La plante lors d'un attaque se déshydrate plus vite, il faut arroser plus souvent, surtout pour un FDK (peu de risque de faire pourrir les racines, cependant je conseil quand même de sortir la plante de son cache pot.)
  4. Bonjour, bravo pour la floraison sur une si petite bouture, le pédoncule devait déjà être présent je suppose ? Je couperai ici et là après la floraison, pour faire raciner dans de l'eau puis repiquer ensuite dans le pot quand c'est bon.
  5. Sycomore

    Phalaenopsis cochlearis

    J'espère que ça aidera ceux que ça intéresse, c'est une espèce peu courante et pas simple de culture, on ne trouve guère d'informations sur le net en tout cas.
  6. J'ai trois hampes, une en cours, voici la plante :
  7. J'ai Miltonia moreliana (maintenant espèce à par entière, rendant la variété obsolète) qui est synchrone (grâce à tes conseils) avec ton rosea, maintenant que je l'ai fais fleurir je m’intéresse à l'autre forme (rosea), celle que tu présentes, mais je m'attendais plus à voir ce genre de fleur : Est-ce chez moreliana il a aussi une autre fleur qui succède à la première ? Je n'arrive pas à voir comment la deuxième va sortir ! En plus avec la chaleur la première fleur à s'ouvrir n'est pas très belle. Les suivantes le sont déjà plus, je ne tarderai pas à poster mes photos également ! Merci d'avance !
  8. Merci à tous ! C'est un peu l'effet que ça me fait chaque matin quand je découvre un nouveau bouton éclos !
  9. De nouvelles hampes sont arrivées hélas je n'arrive pas à les avoir toute en fleur en même temps... J'en ai quand même profité pour faire de meilleures photos !
  10. Phalaenopsis pulcherrima, J.J.Smith 1933 f. marmorata O.Gruss & W.E.Higgins 2014 Pulcherrima voulant dire "très beau" parfaitement adapté selon moi vous en conviendrez ! On retrouve cette espèce un peu partout en Asie du Sud-Est, je ne connais pas la localité précise de cette forme particulière. C'est l'un de mes Phalaenopsis préféré, à tel point que je me suis mis en quête d'avoir toutes les formes décrites, il me manque désormais un alba pour compléter ma collection (connaissant la variabilité de l'espèce on pourrait même étendre les recherches au delà). Aujourd'hui je vous présente une forme particulière par son feuillage constellé de marbrures, il y a trois plantes dans le pot, si je suis chanceux, j'espère avoir trois types différents, on peut déjà noter une variabilité dans le feuillage.
  11. Phalaenopsis cochlearis, Holttum 1964 section Fuscatae Nommé cochlearis en rapport avec son labelle en forme de conque. Phalaenopsis originaire de la péninsule Malaise et du Sarawak sur la côte nord-ouest de l'île de Bornéo. Tendance lithophyte sur des parois rocheuses calcaires, parfois en épiphyte à une altitude comprise entre 400 et 700m. Répartition : Péninsule malaise et Sarawak. Identification : C’est une espèce compacte qui fait peu de feuilles, de formes obovales/elliptiques, marquées par des stries longitudinales. Les racines sont longues, s’aplatissent au contact de leur support principalement pour se fixer rapidement sur les roches in situ. Les hampes fleurissent à l’apex par deux ou trois et rarement plus, sur des entre-nœuds très courts qui peuvent éventuellement donner des ramifications florifères, à ma connaissance cette espèce ne fait pas de keiki naturellement. La fleur est relativement petite (3cm de hauteur pour 2.5cm de largeur) de couleur acidulée, jaune pâle avec des nuances de vert ainsi que de distincts motifs ocre qui viennent encercler la colonne. Identifiable par son labelle caractéristique en forme de conque, parcouru de stries de la même couleur que les macules précédemment citées. La floraison est principalement estivale en métropole, peut refleurir par cycle à cette même saison. La durée des fleurs est de deux semaines à un mois. Une fois les boutons initiés, leur croissance est assez rapide, ce qui n’est pas le cas de la hampe qui peut mettre un an avant d’arriver à maturité mais qui persistera pour accueillir de nouvelles fleurs chaque année et former, avec le temps, un large bouquet. Aucune fragrance détectée. Culture : Je cultive mes plantes sous des lampes LED (environ 4500 lumen, avec un rendu de couleur mélangé : 7500 et 3500 Kelvin), en appartement, de ce fait ces conditions s’appliquent à ma culture et n’engagent que moi, les informations données sont donc issues de ma propre expérience avec cette espèce. Substrat : Ecorce moyenne avec un apport de dolomie (pour l’apport calcique). On peut aussi utiliser des morceaux de mollusques à coque ou des coquilles d’œufs, la plante aime être à l’étroit dans son pot. Luminosité : forte mais la plante s’est adaptée ici car initialement ses besoins en lumière sont moindres que la plupart des espèces du genre, hormis un feuillage jaunissant dû à l’intensité reçue ça n’a pas l’air d’inhiber la croissance ni la floraison. Arrosage : modéré, je laisse bien sécher entre deux, je réduis l’hiver évidemment sans pour autant mettre la plante au repos si elle se met à pousser. * Hygrométrie : de 40% l’été à 60% l’hiver, diurne / de 60 l’été à 80% l’hiver, nocturne * Engrais : NPK triple 20, quand la plante est en croissance, une fois sur trois avec un 4ème rinçage. Température : tempérée à chaude, l’hiver ça ne descend pas en dessous de 17 la nuit, ça remonte la journée jusqu’à 24 : À partir de là les autres saisons la température est impactée par la chaleur extérieure. Ces deux derniers points sont essentiels dans le processus de floraison de l’espèce, in situ (pendant l’été chez nous) il y a une baisse de la pluviométrie, et c’est d’ailleurs ce qui va initier la floraison, dès lors que les boutons apparaissent sur la hampe, on peut reprendre les arrosages progressivement. Chaque année la plante réagit également avec les canicules et se met à fleurir abondamment à chaque épisode de chaleur. Je ne suis pas très actif ces derniers temps j’ai beaucoup de photos à traiter et j’en raté beaucoup de floraisons pendant mon absence, alors pour mon retour je fais les choses bien ! De plus j’aime particulièrement cette espèce, que j’ai maintenant depuis quelques années, acheté encore immature j’ai l’impression de bien la connaitre à présent. Engagée à fleurir de mieux en mieux au fil des années, j’espère pouvoir arriver à des floraisons spectaculaires et vous les partager.
  12. Sycomore

    Catasetum tenebrosum

    Bravo moi il a eu le culot de fleurir quand j'étais pas là !
  13. Je bave sur mon clavier littéralement !
  14. Sycomore

    Orbea hardyi

    En effet et pourtant chez Kew, Orbeanthus est placé au rang de synonyme. https://wcsp.science.kew.org/namedetail.do?name_id=509333. Alors que dans la monographie de Albers, Focke, et Meve (Illustrated Handbook of Succulent Plants: Asclepiadaceae) c'est Orbea le synonyme... Ils font office de référence dans cette famille, alors je vais sans doute changer mes nominations ! Je ne sais pas encore à qui me fier et je n'ai pas ce graal... euh ce livre, c'est fort dommage d'ailleurs, C'est bientôt mon anniversaire, je dis ça je dis rien !
  15. Sycomore

    Orbea hardyi

    Voici Orbea hardyi, c'est une plante xérophyte originaire d'Afrique du Sud (quelques localités : Bewaarkloof, Abel Erasmus Pass, Blyde River Canyon, Limpopo et Mpumalanga), ou elle pousse entre 900 et 1500 mètres d'altitude dans les sols sec ou affleurement rocheux rempli d'humus et surtout bien exposés. Niveau culture, j'utilise un mélange majoritairement minéral à base de pumice et de terreau de feuilles de chêne, en période de croissance la plante a besoin d'eau et d'un bon engraissage, puis lorsque les températures chutent elle se met en repos sec. Comme je peux difficilement recréer les conditions in situ, je chauffe la zone de culture et l'arrête la nuit pour créer une bonne amplitude thermique. Mes plantes se développent bien sous les lampes. Je me suis intéressé aux Stapelidae grâce aux Hoya (autre branche de la famille), et depuis je suis fasciné voir hypnotisé par les Apocynacées (anciennement Asclepiadacées). J'ai donc acheté beaucoup de semis, et fait des boutures, car ces plantes sont difficile à trouver. Voici la première floraison de ma collection. J'ai un nouvel objectif et je peux enfin dépasser les limites physiques de mon ancien matériel et commencer à innover à nouveau !
  16. Sycomore

    Paphiopedilum emersonii

    Bravo Laurent, belle récompense à ta patience !
  17. Sycomore

    Bulbophyllum affine

    J'adore celui là, et son rhizome bien dodu ! Bravo Béné !
  18. Galeandra leptoceras Schltr. 1920 C'est la saison ! G. baueri arrive également, premières floraisons maison pour ces achats de l'année dernière chez Nardotto. (Merci Julie !!) J'adore ce genre et c'est peu dire ! Je vais me mettre à chercher Galeandra minax/devoniana/schmidtii maintenant, je lance une bouteille à la mer si jamais ! Je ferais une comparaison avec baueri (bientôt illustrée), mais le parfum est vraiment différent et pas vraiment très agréable avec celui-ci ! Culture comme un Catasetum, à garder en petit pot car racine beaucoup moins donc arroser au début avec parcimonie quand la pousse est bien formée, a tendance à avoir soif pendant la floraison. Et beaucoup de lumière évidemment pour ce genre.
  19. Pas si on connait les bonnes personnes !
  20. Sycomore

    Epidendrum nocturnum

    J'hésite à le prendre dans ma collection celui là, il me plait bien, ça fait combien de hauteur avec les feuilles ? Merci Béné et bravo !
  21. Un bel hybride ça ! Bravo
  22. Pierre Couret est une selection de var. imperiale, l'autre connais pas, peut-être que ça durera plus !
  23. Probablement des Drosophiles si on suit la description, mais dans les plantes c'est plutôt un problème de Sciarides. La meilleure solution à mon sens ce sont les pièges collants de couleur jaune, autant pour l'un que l'autre.
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