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Origine des plantes de collection


Invité ezekiel

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En nepenthes je ne sais pas.

 

En orchidées, même ceux qui font de l'in vitro aiment bien récupérer un grand nombre de plantes d'une colonie, les fleurir et choisir celles qui ont le plus de qualité (couleur, floribondité, vigueur, etc...) Donc avant le flacon, il y a de toute façon collecte, plus ou moins raisonnable...

Ca rejoint ce que je dis au dessus. Personne n'est "clean".

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comment ça tu sais pas??? :angry::angry: Bien sur que ça se sait= quand tu reçois (et c'est bien précisé à la commande) une plante de la taille d'une pièce de 2 centimes tu tu doutes bien que c'est pas de l'arrachage dans les highland de borneo à contrario de certaines orchids

 

t'as vu , poloassalili veut supprimer sa serre et culturer sous led en indoor il a raison ça économise en edf chauffage etc en plus il peur creer les saisons progressivement = et inverser jour nuit pour les heures creuse!!

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Invité Macaroni

c'est sur que c'est une merveille.

celui-ci est clairement le graal de tous collectionneurs.

Impossible à trouver.

Impossible à maintenir.

Impossible à cultiver.

Impossible à reproduire.

Bref c'est la perle rare

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Il est trouvable, il est cultivable (des mecs à Taiwan y arrive sur le "long" terme) et quelques semis survivent encore par ci par là. Rien n'est impossible mais très très compliqué.

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un article qui tourne en ce moment sur Fbook et G+ rédigé par Loïc Chauveau

 

 

EXTINCTION. Internet, une aubaine pour les trafiquants ? C'est le cas pour ceux qui cherchent à revendre des espèces végétales ou animales interdites de commerce en raison de leur rareté ou de leur risque d’extinction, selon les critères de la Convention internationale sur le commerce des espèces en danger (CITES). Si une surveillance des sites de vente en ligne comme Ebay commence à s’ébaucher, aucune évaluation n’avait jusqu’à présent été faite sur les réseaux sociaux dont l’émergence, il est vrai, date de moins de dix ans. Amy Hinsley et David Roberts, chercheurs membres de l’institut Durrell pour la conservation et l’écologie de l’université du Kent (Grande Bretagne) ont tapé le mot "orchidées" dans dix langues différentes (dont le français) sur les moteurs de recherche d’un réseau social (dont ils taisent le nom) afin de savoir combien de groupes échangeaient sur ces plantes recherchées et surtout si des échanges commerciaux informels étaient établis. La réponse positive vient d’être publiée dans la revue Conservation biology.
Des plantes rares convoitées dans le monde entier

Les chercheurs ont débusqué 150 groupes spécialisés fédérant 43.509 individus. 26 de ces groupes interdisent formellement toute activité commerciale. 43 autorisent les échanges financiers et parfois même les encouragent. Les groupes restant se caractérisent par l’absence de règles ne permettant pas de savoir si le commerce est possible ou pas. Ces échanges ne portent évidemment pas sur les espèces commerciales les plus courantes mais bien sur les raretés sauvages dont le prix peut atteindre sur le marché noir plusieurs dizaines de milliers d’euros. Des prix qui incitent les riverains des forêts d’Asie du sud-est principalement à aller collecter ces orchidées sans se soucier d’une possible extinction dans le milieu naturel. Les chercheurs en concluent sans surprise qu’il serait nécessaire de surveiller ces sites qui relient de très petits trafiquants à une clientèle mondiale.

Les chercheurs anglais n’ont pas ciblé les orchidées par hasard. Ce groupe pèse 70% des espèces végétales dont le commerce est interdit ou soumis à autorisation par la CITES. Ce plus grand groupe de plantes à fleurs avec 30.000 espèces sauvages répertoriées est intégralement protégé par la convention. Mais il fait l’objet d’un trafic grandissant selon le rapport remis en novembre dernier par l’ONG Trafic. La surveillance pendant deux ans de quatre grands marchés de plantes de Thaïlande a permis de dévoiler des échanges transfrontiers illégaux avec la Birmanie et le Laos. 348 espèces différentes d’orchidées ont été reconnues sur les étals et au moins 16% des plantes proposées étaient interdites à la vente selon les règles de la CITES. En utilisant les réseaux sociaux, les petits trafiquants évitent le risque d’être dénoncés sur les marchés.

 

sans commentaire !

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bref e bay entre autres est une véritable plate -forme pour écouler de la marchandise illicite.. apres c'est sûr que ceux d'entres vous qui convoitent une rareté sur la bay ne vont pas demander d'où vient la plante ... la passion passe outre de tous les interdits

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Sans vouloir minimiser le poids des trafics sur les espèces protégées il faut peut-être prendre un peu de recul par rapport à ce genre d'articles de recherche qui ont vite fait de monter des chiffres en épingle afin de donner un impact à la publication. On sait que des chercheurs ont tapé le mot "orchidée" dans plusieurs langues, très bien, mais aucun détail sur la manière dont le caractère illicite des échanges a été établi. En l'état et sans connaître les détails de la publication ce résumé ne m'inspire pas beaucoup de considération. Ca me fait un peu penser à cet article que j'avais vu concernant la saisie de 5200 orchidées à la Réunion, quand on voit de quoi il est question on s'aperçoit que certes les règles du CITES n'ont probablement pas été respectées, mais que trafic d'espèces en danger il n'y a probablement pas eu, puisque c'est de l'hybride, de l'in vitro, des plantes non indigènes... mais ça a permis à certains de se faire mousser.

 

Par ailleurs il conviendrait pour donner bonne mesure sur l'importance de la question de savoir quelle est la part des trafics dans la disparitions d'espèces protégées, en comparaison par exemple avec la déforestation...

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Invité Macaroni

Absolument d'accord avec Laurent.

Question, le prélèvement de pollinis sur les sujets indigènes est-il également réglementer ?

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@Macaroni: la logique voudrait que oui. Mais réglementairement, je n'en sais rien. C'est toujours pareil, ça dépend du statut de l'espèce.

 

Quant à l'article, il soulève un problème qui existe c'est certain. Après, y aurait des chiffres à vérifier. Des plantes rares qui atteignent des dizaines de milliers d'euros collectées, je demande à voir. Qu'on me donne un exemple. Ca sent le chiffre pour faire le buzz en effet!

 

Une chose est sure, t'enlèves 3 zéros et tu sais ce que le collecteur va toucher.... Au mieux!

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