Dominique Barthelemy

Le nom exact est Lycaste Lourenties

Pour la nuance dans la traduction, je ne me prononcerai pas hâtivement, je vais demander à mes enfants... Pour la culture, et la crainte de ceux qui pensent qu'il fait trop chaud chez eux, je crois que la culture et les résultats de Michel sont les meilleures réponses. C'est vrai, les Disas peuvent souffrir de la chaleur, mais cela peut être largement atténué si les pots baignent dans une bonne quantité d'eau, dans un endroit bien ventilé. Un bon moyen également de les aider pour les périodes chaudes, est de rempoter large. Oubliez la règle du 'pot ajusté'. Les racines de Disa aiment l'espace, et un gros volume limitera l'élévation de température au niveau des racines (c'est ça qui compte. Sur Table Mountain par exemple, il peut faire chaud l'été, mais le sol reste frais le long des cours d'eau). Chez nous les plus beaux sont en tourbière. Ne jamais laisser sécher, bien sûr, même en hiver. Et l'hiver, donc, températures aussi fraiches que possible, en évitant d'aller jusqu'à 0°C. Avec beaucoup de lumière tout le temps, à faire rougir le feuillage si possible. Rempotage au moins tous les deux ans. Nous avons testé à différentes périodes, tout marche (éviter quand même le printemps quand les tiges florales se développent). Après la floraison (en ce moment), c'est bien car on ne casse pas les nouveaux stolons. Très peu d'engrais '300 µS/cm max au final). Autant que possible pas d'arrosage par dessus, le bain permanent (à l'eau de pluie) suffit. Substrat à base de tourbe, mais d'autres possibilités existent (sable, perlite...). En suivant tout ça à la lettre, il n'y a pas beaucoup d'endroits en France où ça ne marche pas.

Elles sont ascendantes...en général. Mais dans un pot non ajouré, beaucoup de tiges qui partent plus ou moins à l'horizontale au début avortent dans le pot

Pour ce type de Maxillaria, il faut un substrat gardant l'humidité ( elle n'aime pas sécher), mais bien ventilé. Pot ajouré, pour la ventilation et pour laisser passer les tiges florales. Pot pas trop petit. Un substrat type écorce 1 cm + sphaigne marche bien.

Bonjour à tous, Des contraintes liées à notre emploi du temps nous obligent à renoncer à notre participation à l'exposition de Vaucelles cette année. Au plaisir de vous retrouver à la serre, ou lors des autres manifestations prévues cette année et listées sur notre site : www.lacanopee.com Cordialement, Dominique Barthelemy La Canopée

La Canopée participera à cette exposition

C'est nous qui nous sommes plantés dans l'étiquetage...Pas assez bretonnant, quand les enfants ne sont pas derrière pour vérifier...

En effet. Curieux, à cette époque-ci...

Pas de problème

A peu près sûr, oui. Elles apparaissent plus ou moins haut. Elle n'est pas encore en repos à priori. De toute façon la lumière ne lui fera que du bien

C'est une tige florale

Je confirme, il s'agit bien du même produit, qu'il vienne de chez Gérard, ou de La Canopée. D'un lot à l'autre, il peut y avoir quelques différences d'aspect mais la qualité est la même.

La Canopée y sera

J'ai relu tout le post de Louis La Brocante (Louis Ronan : OK c'est pas bon et j'arrête) et j'ai le sentiment que l'orchiata peut être un plus pour la culture des orchidées. Les quelques avis ci-dessus confortent mon opinion. La Canopée vient en Belgique en mai. Je vais donc commander pour l'expo et éviter les frais de port. qui a déjà commandé de l'orchiata aux deux ..Ronan et La Canopée...?? je viens d'ouvrir un des paquets commandés à la canopée et les écorces ne sont pas pareilles.. je mexplique.. couleur différente car on dirait plus sèche à La Canopée et écorces "moins douces" à La Canopée... avez vous fait ce constat ? Il n'y a pas différentes qualité d'Orchiata, c'est le même fabricant, la même origine. Après, d'un lot à l'autre, il n'est pas impossible qu'il y ait de très légères différences, mais après trois ans d'utilisation, je n'ai pas constaté cela. Par contre, cela peut être en effet plus ou moins sec, suivant l'endroit où sont stockés les sacs (mais en principe les sacs sont quasiment étanches, donc il y a peu d'échanges avec le milieu extérieur), mais cela n'altère pas la qualité.

C'est la deuxième floraison cette année, et il prépare 8 autres tiges florales. Il a mis du temps à se décider à fleurir, mais maintenant c'est pas mal !

Oui, c'est vrai, ça peut être ça (j'aurai dû y penser, étant donné que c'est moi qui l'ai enregistré..). Mais la forme est variable chez Aouregan. Sur M. Whiskers, j'en ai vu moins, je ne sais pas.

Ca peut être M. Whiskers (veitchiana x glandulosa)

En appartement,je ne conseillerai vraiment pas de ne pas arroser du tout en hiver.Les Fredclarkearas sont de toute façon beaucoup plus tolérants que certains Catasetums. Pour ce qui est de patienter 'un peu', il est bien précisé que le signe de la reprise est l'apparition des racines. A partir de là, on peut reprendre progressivement un rythme d'arrosage normal

je pense qu'il n'y a pas 'un' critère qui permet de se faire une idée, mais plutôt un faisceau. Un catalogue qui change très souvent, ça veut dire que les plantes vont et viennent, que ce sont de petits lots. Ca peut être le cas pour des divisions de plantes, mais globalement un catalogue stable est plutôt un indice de production sur le long terme. Ce qui est assez caractéristique des orchidées en général. Pareil pour la taille de la serre, en soit ça ne veut rien dire, mais associé à d'autres choses, ça peut contribuer à se faire une idée. Mais je comprend que ce ne soit pas facile, car les producteurs vendeurs peuvent avoir différentes sources de plantes : semis, divisions, échanges, achat...

Au delà du désagrément causé par un mauvais étiquetage, je crois que les pépiniéristes, tout comme les amateurs d'orchidées, ont un rôle à jouer dans la préservation de la biodiversité de cette famille de plantes (mais c'est valable pour les autres familles aussi). Certains taxons sont déjà perdus après de multiples croisements, hybridations...Le problème de l'étiquetage me semble majeur, mais les causes d'erreur sont néanmoins multiples. Il peut y avoir l'erreur d'identification, en toute bonne foi. Sur certaines espèces, une identification correcte peut être complexe, prendre du temps, nécessiter des connaissances. Il y a l'erreur de manipulation, suite à un rempotage, ou un stockage de plusieurs lots sans étiquettes dans une même zone. Cela peut arriver, mais d'une manière générale, cela dépend fortement du sérieux du producteur/vendeur. Cela prend tu temps, mais en principe tout doit être fait pour assurer la traçabilité des plantes dans une serre. Des lots bien identifiés, une étiquette par plante, prendre le temps d'identifier et rectifier les erreurs, etc... Le risque d'erreur le plus important, le plus courant, est lié à la traçabilité des plantes et aux multiples intermédiaires : 'A' fait une fécondation à partir de deux plantes, 'B' fait le semis, 'C' cultive les jeunes plantes, puis les revend à 'D' (on peut ajouter d'autres lettres dans bien des cas...). A chaque étape, le risque d'erreur augmente bien sûr, volontaire ou non. Ce schéma est bien plus courant qu'on l'imagine, et comme les plantes sont souvent vendues avant la floraison, c'est l'acheteur final, le particulier, qui en fait les frais. Evidemment ce n'est pas facile de connaitre le parcours d'une plante, mais si vous achetez à un producteur que vous connaissez, vous pouvez déjà avoir une bonne idée de la façon dont il travaille, même s'il ne vous dit pas tout. Il y a des indices : la taille de la serre, le nombre d'employés, la gamme de plantes et la fréquence de renouvellement du catalogue. La proximité joue bien sûr un rôle important. Dès que l'on parle d'import, l'identification des plantes peut rapidement devenir assez floue. Un vendeur sérieux cultivera les plantes suffisamment longtemps pour les acclimater, mais aussi pour les faire fleurir. Pourtant, il est assez courant de voir sur des sites de ventes des choses du genre "l'import d'Inde fait il y a trois mois est acclimaté, les plantes sont à la vente !'. Evidemment, cette traçabilité a un coût, comme le fait de produire de A à Z a un coût. Un prix élevé n'est bien sûr pas une garantie de sérieux, mais à l'inverse un prix très bas cache souvent quelque chose. Si on achète en connaissance de cause pourquoi pas, mais il ne faut pas trop s'étonner quand même des erreurs. C'est l'absence d'erreur qui serait étonnant. Tous genres de plantes confondus, les pépiniéristes 'collectionneurs' tendent à disparaitre, car le contexte économique est difficile pour eux. Pourtant, ce sont eux, ceux qui connaissent leurs plantes, qui les ont cultivés, qui sont les meilleurs garants de l'exactitude taxonomique.

C'est possible! ;-) c'est au catalogue

Masdevallia Morito. Hybride créé par La Canopée, présentant des fleurs aux couleurs et motifs très variables. Très florifère. Issu du croisement entre Masdevallia Mary Staal et Masdevallia Enez Eusa.