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neophyte

Habitués Orchidees.Fr
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À propos de neophyte

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  1. Cela ressemble en petit à des tenthrèdes (larves de mouche à scie). Il faudrait une photo en macro. Mais elle se déplace comme une chenille arpenteuse, alors ? Lutte: Collecte (à la lampe de poche?), Pulvérisation de solution de savon noir, Insecticide à base de pyrèthre Courage
  2. Pour système avec ou sans pompe sur réseau eau froide 3.1 à 8.5 bars voir kits Orbit (USA). En plus du kit bricolage il faut une électrovanne et un ou 2 programmateurs (timer) + tuyaux d'alimentation. Le prix plonge. A la base destiné aux USA au rafraichissement. Misting system avec taille de gouttes de 50 à 70 microns (donc retombe rapidement) Cela doit exister en France, voir Bourbon Nature
  3. Et même un hydrofogger (origine USA) c'est pas donné. La dimension Std (4 l/h) pour 450 $ + hygrostat 100 $ + frais d'importation sans oublier les 62 dB de bruit! La variante mini (1.5 l/h) pour 300 $ doit suffire largement.
  4. Par brumisation haute pression en gouttelettes de 1 à 5 microns je comprends l'installation d'une pompe 60 à 70 bars et d'un système ultrafin de filtration. Suivant le nombre de buses ça va chercher dans les mille Euros et plus. Complètement irréaliste pour 30 plantes et très probablement moins de 10 m2 de serre. Si tu a besoin d'humidifier et d'habitude de refroidir en même temps il faut chercher une autre technique par exemple hydrofogger centrifuge ou un système à pression réseau (3 à 4 bars) à gouttelettes plus grosses en forçant la ventilation pour éviter d'arroser les plantes. Mais ce n'est que de la théorie car je n'ai pas de serre.
  5. On se tient les pouces. Arrives-tu à toucher le boîtier du transfo sans te brûler les doigts, cela serait bon signe. Par précaution il serait favorable de diminuer le nombre de cycles par heure en augmentant l'hystérèse (en éloignant les limites l'une de l'autre) de l'hygrostat. En effet le transfo reçoit un choc de valeur variable à chaque enclenchement en fonction de l'instant dans la phase et ceci n'est pas contrôlable (courant de magnétisation). Il devrait malgré tout tenir le coup.
  6. Les principaux oligo-éléments pour plantes sont le bore, le cuivre, le fer, le manganèse, le molybdène, le zinc et ne sont normalement pas présents dans l'eau du robinet. Ils sont ajoutés à la plupart des engrais et représentent au total moins d'un gramme par kilo d'engrais pur. Pas de risque de ce côté. Ils sont du reste aussi divisés quand tu dilues l'engrais
  7. D'un coup tu parles d'un transfo redressé ce qui n'était pas le cas du décédé clairement étiqueté AC. Que spécifie la doc de ta tête US? Tu ne peux pas remplacer sans autre un transfo AC (courant alternatif) 24 V par un transfo avec redresseur DC (courant continu) 24 V sans connaître les entrailles (le schéma électrique) de ta tête. Si tu n'a pas de doc il doit bien y avoir une étiquette collée. Ne va pas faire sauter un nouvel élément.
  8. Si tu as du temps mignon, un intérêt pour l'électricité et un transfo dont les tôles ne sont pas soudées (cordon de soudure en travers du paquet) tu peux (difficilement) démonter les tôles, sortir le bobinage et débobiner pour trouver le point de défaut, ceci pour ton éducation ! Cela risque de te rendre encore plus dingue et anti produits chinois de bas étage. N'oublie pas que le problème peut provenir de la tête US. Avec un bon transfo et un bricolage sur le câble 24 V en utilisant le vieux en rallonge et un ampèremètre AC il serait bon de vérifier ce qui circule comme courant
  9. C'est mal parti, pratiquement impossible de réparer le transfo sauf si c'est un problème de soudure du bobinage au câble ou au connecteur. Tu as une exécution spéciale avec sortie 24V AC alors qu'usuellement les têtes US de brumisateur sont alimentées en 24 V DC, donc dans ton boîtier ouvert il n'y a qu'un transfo et pas de redresseur, c'est plus simple. Vérifie les continuités primaire (kohms) et secondaire (ohms) à l'ohm-mètre puis l'isolation entre primaire et secondaire (Mohms), Si OK branche le primaire au réseau derrière un coupe circuit de sécurité et vérifie tension au secondaire sans charge puis avec. Si pas de tension ou chute en charge alors †, Autrement problème du côté tête. Si court-circuit interne entre spires cela devrait chauffer et sentir le vernis brulé Précautions d'usage avec le 230V AC
  10. Les leds ne sont pas mon métier donc mes commentaires ne sont que des opinions Vu le marquage CE, FCC ( Fed Communication commission), RoHS (composants chimiques interdits) on peut raisonnablement supposer que l'ampoule répond aux normes générales et que l'absence de marquage du groupe de risque photobiologique signifie que l'ampoule appartient au groupe 0 ou 1 sans danger On supposera donc aussi que la puissance de 30 W affichée est correcte. C'est facilement vérifiable avec un wattmètre prise empruntable à un copain électricien ou dans les communes qui font la traque à la consommation d'électricité des appareils La consommation des leds bleues (12) et blanches (2) est alors de 13 W. Cela me semble raisonnable surtout si on respecte la distance recommandée sur l'étiquette soit 1.5 à 2 pieds (45 à 60 cm). On ne va pas mettre son œil au niveau du feuillage. Plus je peux pas
  11. Source d'info: INRS http://www.inrs.fr/risques/rayonnements-optiques/eclairage-led.html Risque d'éblouissement si on regarde la source qui est très concentrée (phares de voiture, éclairage public, projecteurs de salle de sport). Facile à éviter avec l'ampoule mentionnée Effet toxique lumière bleue même si on ne regarde pas la source. Les sources selon NF62471 sont classées en 4 groupes avec durée d'exposition décroissante. Il faudrait en rester aux groupes 0 ou à la limite 1. Je pense que les ampoules "made in China" ne sont pas marquées selon cette norme française, mais dès que le niveau GR1 est dépassé, le marquage CE avec classement est obligatoire. Donc si ton ampoule n'est pas marquée avec le classement et que les autorités de contrôle ont fait leur boulot cela veut dire que le risque est négligeable. Avec la puissance mentionnée c'est probablement sans risque. Ta sensibilité au rayonnement lumineux des leds n'est naturellement pas standardisée. Beaucoup de personnes ont des difficultés avec les sources concentrées. Un abat jour de spot dépassant l'ampoule peut limiter l'étalement à toute la pièce
  12. Pas facile d'y voir clair dans ces éclairages horticoles à LEDS optimisés pour l'assimilation chlorophyllienne. De par la physique et à courant égal les leds bleues (et blanches = led bleues + phosphore luminescent jaune, en couleurs complémentaires) consomment ~1.5 fois l'énergie (Watts) des rouges et émettent des photons avec le double d'énergie d'où le rapport usuel de 2 leds rouges pour une bleue. Les leds blanches ne contiennent pratiquement pas de rouge et ne peuvent pas être considérées comme horticoles mais comme nécessaires à la mise en valeur pour l'œil humain. La première lampe Oxyled à 2 branches de 18 leds consomme 8 W soit environ 190 mW/led rouge et 285 mW/led bleue, faible puissance style rubans lumineux, 1/3 de bleu 2/3 rouge pas de danger ni pour les plantes ni pour l'humain. J'estime la surface éclairée utile à 2 x 0.25 x 0.4 = 0.2 m2 donc 40 W/m2. Mesures faussées au luxmètre car hors du spectre normalisé. Destiné à compléter la lumière du jour à 15 cm des plantes. Insuffisant tout seul. Passons à l'ampoule Longko diamètre 6 cm dont la consommation n'est pas claire. Il est dit: L'ampoule LED de 30W est en fait équivalente à une consommation de faible de 15W ! Sur un autre site utilisant la même ampoule dans une lampe la consommation annoncée est de 18W. Avec cette valeur la puissance moyenne est de 450 mW/led. Avec l'ampoule j'estime pouvoir éclairer un cercle de 0.138 m2, donc 130 W/m2. Mesures faussées au luxmètre. Peut incommoder l'œil. Pas de danger pour les plantes à environ 20 cm mais surveiller exposition très longue. Panneau Roleadro 100 leds à 3W = 300W, ventilé . Destiné à chambre de culture sans humains en permanence. Distance 0.5-1 m. Rapport Rouge/Bleu très élevé 7:1 donc pas trop de bleu pour l'oeil. J'estime la surface éclairé à 1 m2 donc 300W/m2. Eclairage principal à gérer. Mesures faussées au luxmètre. Un luxmètre n'indique des valeurs correctes que pour de la lumière blanche . Avec une lumière rouge et bleue il ne peut être utilisé que pour comparer de manière relative différentes lampes qui ont approximativement la même quantité de rouge et de bleu. Les valeurs en lux de la littérature orchidées ne concernent que la lumière blanche au spectre complet. Point de vue personnel: L'éclairage de plantes uniquement avec des leds blanches est déséquilibré et non recommandé par manque de rouge. Convient par contre en complément du soleil. Les tubes fluorescents qui tirent sur le rosé sont de ce point de vue un peu meilleurs mais de moins bon rendement. Ils disparaissent du marché. Merci d'avoir supporté cette longue tirade.
  13. Si je lis bien tes deux engrais sont en spray donc prêts à l'emploi sans dilution par tes soins et leur contenu en N est de 500 mg/litre ce qui correspond à 500 ppm. A ce taux, c'est un engrais pour plantes vertes beaucoup trop dosé pour des orchidées. Personnellement je ne l'utiliserais qu'à raison d'un tiers ou un quart mélangé à de l'eau dans une bouteille vaporisatrice à main aussi bien pour les feuilles (si nécessaire à cause de racines abîmées) que pour les racines.
  14. T'inquiète pas, retour à l'école: Tous les types d'humidificateurs forment un ensemble mathématique et les brumisateurs forment un sous-ensemble de l'ensemble "humidificateurs" J'avais pas réalisé. Un laser peut sans problème percer à ce diamètre. Par contre comme diamètre de gouttelette cela me semble gros (basse fréquence US autour de 20 kHz) mais je n'ai pas de référence.
  15. C'est pas une question de préférence mais de débit et de volume à humidifier donc de technique de vaporisation. Qu'importe le nom, le but est d'avoir assez de vapeur d'eau dans l'air. Tout petit débit, économe en énergie: on fait passer de l'air (ventilo) sur une surface humide. Totalement inefficace pour culture. Destiné au confort. Moyen débit économe en énergie: brumisateur à ultrasons qui projette un brouillard de gouttelettes qui s'évaporent dans l'air du volume à humidifier. Energie de vaporisation prise dans l'air ambiant qui est refroidi. Attention aux coins froids où la vapeur d'eau recondense. Moyen débit couteux en énergie: l'eau est chauffée et s'échappe sous forme de vapeur, système quasi abandonné. Haut débit: Un turbine projette des gouttelettes par force centrifuge ou de l'eau sous haute pression alimente une buse-gicleur (comme pour le fuel du chauffage ). L'histoire de trou de sortie se rapporte au gicleur. Les gouttelettes s'évaporent dans l'air. Destiné aux gros volumes comme une serre Humidificateur = Ensemble Brumisateur = Sous-ensemble d'humidificateurs
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